La prise de décision par consentement

Là où, pour agir, le consensus exige que tou·te·s les participant·e·s à une décision soient unanimes, le consentement se contente du fait qu’aucun·e membre n’y oppose d’objection raisonnable.
Une objection est jugée raisonnable si elle bonifie la proposition à l’étude ou l’élimine complètement.
L’objection n’est plus synonyme d’obstruction mais d’identification de limites, de tolérances qui deviennent les conditions de réalisation de la proposition.
Le processus permet de faciliter l’identification de ces conditions et la mise en pratique des décisions.

Ressources :
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