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POP Comment faire prendre conscience à un groupe qu'il forme un collectif ?

Camille, Karen, Honorine, Lise, Gwen, Séverine, Alizée

Prochain rdv en sous groupe :

Prochain rdv collectif --> 22 juin à 19h30

Comment faire prendre conscience qu'un groupe forme un collectif

Pourquoi c'est important pour nous ?
Moi j'ai envie que ce soit un collectif mais peut-être que les autres n'y trouve aucun intérêt ?
Un groupe qui gère une ressource avec une organisation
Comment faire prendre conscience qu'on a une ressource en commun ?
dans le cas d'Alizée c'est la mer la ressource

Partir de la théorique et l'expliquer par un exemple

Libre arbitre : les gens ne veulent pas du collectif
Expérimenter pleins de trucs, pour essayer de leur faire prendre conscience qu’ils sont un collectif, « mais les musiciens n'y arrivent pas »
importance qu'on a nous du collectif : on y met beaucoup d'énergie mais tu ne peux pas convaincre les gens, il faut être un exemple pour les autres, notre rôle n'est en aucun cas de convaincre.

Ça ne marche pas d'imposer

Pourquoi est-ce qu'on fait ça ? pour nous, pour s'outiller, pour éviter des écueils, l'idée c'est que les gens sont conscients qu'ils peut y avoir un collectif après c'est leur choix d'en faire partie ou non

Gwenn : les musiciens comme ils sont contraints, ils n'ont pas envie.

on ne peut pas convaincre les gens d'être un collectif : Leur faire vivre une expérience irréversible de coopération
Plus ils vont expérimenter : plus ils vont prendre conscience que ça existe partout

Impliquer les gens dans les réflexions des directions municipales.
Les gens peuvent choisir comment l'expérimenter.

Démarrer les démarches, les nourrir d'information : Newsletters

Comment on s'outille pour favoriser cette expérimentation?
NOUS comment on favorise, pour nous les convaincus du collectif.

Choisir plusieurs cas de figure, sur plusieurs durées, réalité temporelle : village, groupement de musiciens.

Qu'est ce qui nous a convaincue nous à coopérer ?

• Expériences scout : plus fort ensemble, je peux faire seule mais il me manque quelque chose
• Sélection participative avec les semences, savoir intergénérationnel : je me suis sentie appartenir à un réseau : dans le temps et dans l'espace, j'ai trouvé un sens, tout le monde à une mission.
• Education, colonies de vacances, amis
• Faire ensemble, aller plus loin en collectif, sentir comment le collectif peut porter

On cherche à faire vivre un déclic que nous on a pas eu : ça été une démarche longue.


COMMENT ?

On a 4 semaines
2 sous-groupes au milieu ; début et fin toutes ensemble

 Créer une boite à outil
 Redéfinir le collectif, reprendre les définitions théoriques
 Partir de nos propres expériences, et voir ce qui nous a fait prendre conscience du collectif, et à partir de là proposer des outils pour que les gens expérimentent le collectif.

Pour prendre conscience, il faut expérimenter.
Donc comment faire expérimenter ?
Comment faire vivre des expériences irréversibles de coopération ?
Mettre en lumière d’autres options que la fête du village
Identifier les problématiques des habitants, et voir comment elles peuvent être résolues par le collectif.

Variable selon la taille et la durée du collectif
Na pas être étiquetée comme l’emmerdeuse de service

Nos dispos :
1h par semaine en visio

Outils
2 sous-groupes qui font des codev sur leurs exp de collectifs pour en tirer les outils efficaces
PAD pour s’envoyer nos idées
4 RV de 1h :
1er RV ensemble : chacun réfléchit d’abord aux expériences qui font prendre conscience du collectifs
Puis RV en sous-groupe
3eme RV ensemble

Animation : A tour de rôle chaque semaine

Comment prendre les décisions ?


Quel rendu ?
Vidéo mais difficile à faire à distance…
Boite à outils = exhaustivité donc on va passer du temps à chercher tout ce que l’on peut mettre dedans.

Podcast : possibilité de construire des interviews et retours d’expérience.
La seule matière qu’on a c’est nos expérience. A partir de nos expérience (c’est ce qu’on a à apporter à la communauté) de là on tire une boite à outils.
Répartir les rôles selon les affinités plutôt sur la réflexion ou le travail du rendu.
Podcast : une seule écoute ou plusieurs petites écoutes ? Gwen, expérience du son.
Enregistrer nos premières expériences dès la première réunion. Mais est-ce qu’on enregistre directement les dialogue ou est-ce qu’on construit un texte qu’on enregistre ensuite.
Risque d’avoir un gros travail de montage.
D’abord passer par une phase écrite.

Premier petits pas : en sous-groupes la moitié réfléchit à ses retours d’expérience et l’autre sur le contenu des définitions. Ensuite peut être inverser ?

Besoin de vulgarisation de concept ? *Besoin de faire du lien entre des retours d’expériences et comment les lier à nos besoins ou nos problématiques concrètes.
Pad pour co-écrire et se réapproprier des définitions. Premier petit pas ?

Intéressant de discuter toutes les 5 de nos expériences de retour

Deux groupes :
- Produire des définitions, reformulation, intro et concepts : Gwen, Camille, Alizée  jeudi 18/06 à 11h
- Produire des retours d’expériences : Séverine, Honorine, Karen, Lise. On parle de nos retours d’expérience, discussion 20min chacune puis extraction  mercredi 17/06 à 20h

Sous-groupe, puis ensuite en grand groupe. Intéressant d’échanger ensuite les personnes qui travaillent les retours d’expérience.
Outils à extraire des retours d’expérience.

En rendu : un audio et une version écrite (sous forme de texte ou plus travaillé).

2ème rdv : lundi 24 à 19h30



RDV 17/06 - Lise, Honorine, Séverine, Karen

Honorine :
Contexte : En faisant un film => filmer des paysans boulangers, ils étaient isolés chacun dans leur coin donc victime de harcèlement administratif, taxes... ils se sont rencontré pour former un collectif :
- 1ere force du collectif c'est de faire face aux géants, avoir un rapport de force, une force de frappe = sont nés des grands mouvements sur les semences...
- Vieux paysans qui avaient un savoir faire et des jeunes => transmission de connaissance
- Le collectif ensemble pouvait développer un argumentaire, des projets, des recherches... chacun sort de sa case, s'ouvre à l"autre => Force d'un collectif
- Le collectif permet de faire connaitre ses combats
- Sentir que chacun avait son rôle à jouer dans le collectif : importance du leader, visionnaire est important, ensuite viennent ceux qui ont des idées
- Chacun fait ce qu'il veut, observe aussi les autres et s'en inspire
- Partage de savoir-faire, pour apprendre, chacun se forme auprès des autres
- Le collectif a une dimension inclusive
- Limites : questions de pouvoir, reconnaissance, trop construit
- Pour moi un groupe, son rôle n'est pas de valider ce que chacun fait individuellement : du coup ca mérite que ce soit validé, formulé par un accord de groupe.

Je ne me suis jamais sentie incluse dans le collectif quand j'avais ma casquette de média
J'ai agi de manière instinctive, sans me poser la question de mon rôle au sein de ce collectif


Lise
Pas forcément de déclic, plutôt inconscient
Sport collectif-> ça fait partie de la conscience du groupe
Financement participatif sur internet -> ça me rend utile, projets intéressants
A l'école, Projet de groupes -> on avance plus vite et plus loin
Stage en auberge de jeunesse danoise gérée par une ONG, 200 bénévoles, demande une certaine rigueur , mais permettait de concrétiser ce projet
Je me suis sentie incluse dans le groupe, on avait besoin de moi
Que tout le monde ait la possibilité de répondre à une question ouverte pour une décision qui impacte le groupe
Reconnaissance du collectif : OUI, besoin
Financement participatif : j'ai besoin de savoir si l'argent a servi
qqun portait le projet puis s'effaçait
si pas de leader, tout le mode co-opère la reconnaissance vient d'elle même
reconnaissance de chacun par chacun


Karen
Pas d'élément marquant
Fille unique : mais parents attaché au fait que je grandisse avec du moment
A chaque fois que je veux apprendre je me pose la question : est ce que je connais quelqu'un qui peut m'apprendre
valorisant d'apprendre et d'enseigner
Collectif large : caractère leader : frein j'essaye de ne pas prendre trop de place dans un collectif
Mon rôle n'est pas plus intéressant qu'un autre : laisser la parole à autres (d'autres ont tout autant de choses à dire).
Je suis plus à l'aise en comité restreint. Dans les gros collectifs je me sens plus facilement exclue
collectif dans le sport : athlétisme compétition.
Courses longue, concurrent mais surtout de l'entraide. Collectif qui s’entraîne vers le haut, permet à chacun de se dépasser.
Entreprise, il y a toujours des questions de pouvoir.
Quand on se sent faire partir du collectif ça régule les enjeux de pouvoir. Même passion, entraide, le fait qu'on se souvienne qu'on est tous là pour la même raison, permet de trouver des arrangements pour rester soudés.
"Chacun permet à l'autre"
Il y a toujours quelque chose à apprendre même si l'échange n'est pas toujours positif
Collectif : partager un centre d'intérêt, une passion, en entreprise : juste projet commun pas forcément une passion.


Severine
Ancienne école : battante. ça m'a epuisé
Puis rencontre Valentin lors d'un atelier cuisine, collectif de chefs cuistos nomades engagés dans la transition. ça vibrait !
Mise en place de projets : restaurant éphémère, avec chefs tournants à tour de rôle, dans MJC.
J'animais des cours de cuisine, et petit à petit je me suis sentie légitime pour transmettre. Beaucoup de JOIE : grande découverte, le travail dans le plaisir.
ENSEMBLE ça veut dire Joie et plaisir. Les taches pénibles sont plus faciles.
Puis autre projet : cantine 350 personnes, avec 6 chefs. Chacun à son compte, c'est notre boulot.
Je peux donner du boulot à des gens, et réciproquement. Chouette de s'entraider.
J'ai fait CONFIANCE facilement : c'est le socle du collectif. Pas grave si on s'entend moins bien avec certains.
PARTAGE
Ca inscrit dans le temps : anciens et plus jeunes.
On s(inscrit dans le temps et dans l'espace.
Liberté d'action.
Ce qui m'a permis de me lancer c'est de participer à des projets sans nécessité d'être le leader. Et maintenant que je suis plus dispo je peux être leader sur d'autres projets. C'est précieux.
On a à gagner à être dans l'échange, ce qu'on donne et ce que l'autre donne. Sourires, reconnaissance.
Maintenant que j'ai gouté au collectif, je suis addict. Y'a une audace qui s'est démultipliée. Y'a plus d'impossible. C'est magique.
Y'a un changement de paradigme dans ma tête : l'échange est enrichissant, la compet n'est pas intéressante.


Questions
faut-il échanger avec tous les membres du collectif pour sentir qu'on en fait partie : non
Collectif est rassurant

Question de la reconnaissance de chacun : toi tu fais partir du collectif car tu es leader, toi parce que tu as donné 5€
Souligner le rôle de chacun

Intergénérationnel : on s'inscrit dans le temps et dans l'espace

Liberté d'action

Choisir son degré d'implication : on n'est pas obligé d'être leader. Trop bien de se sentir libre de monter et descendre l'escalier.

Avoir confiance

Quand il y a l'audace tout est possible

L'échange est un enrichissement, pas de compet : pas de moi je suis le plus fort

le collectif est très rassurant, a un moment javais peur de ne pas faire partie de collectif

Peut-être poser la question : moi je voudrais faire partie de votre collectif en tant que cinéaste, est ce que vous m'accepter tel quel ?

Qu'est ce qui fait qu'on ce sent faire partir du collectif : que les gens puissent s'exprimer.

Un collectif est mouvant car chaque personne qui le compose évolue

PHRASES RETENUES
importance du cadre, les accords de groupe, comment on entre et sort. (hono)
Quel bonheur de donner l'occasion aux gens de se sentir utile (sev)
Paradigme avec la liberté, un groupe est vivant que si il y a de la liberté : quel équilibre entre les règles et les libertés. (Hono)
Valeurs communes
Joie éprouvée (sev)
Question de la reconnaissance. (Lise)(Hono)
Chacun permet à l'autre (sev)
Faire sa part : chacun fait sa part, chacun prend sa part. (karen)
Donner l'occasion au groupe, à chacun de formuler ce qu'il veut apporter et ce qu'il veut en retirer (Lise)(Hono)




RDV 18/06 : Camille, Gwendoline, Alizée

Qu'est ce qu'un collectif ?
Définir groupe et collectif : les gens ne se ressemble pas forcément. Rassemblé par des attentes similaires.
Différence entre les deux : un collectif est un groupe qui a conscience d'être et qui fait quelque chose ensemble (ex. les fan de films qui se déguisent et se regroupent)

Définir le déclic --> Faire prendre conscience : juste identifier qu'on a un but commun = passer de l'état de groupe au collectif. Sans pour autant qu'ils aient besoin d'être actifs (ex. des voisins d'un immeuble). Ils identifient qu'ils ont un projet ou un besoin commun pour lequel ils peuvent collaborer/coopérer.

Définir coopération/collaboration : choisir entre les deux ou pas ? Présentation des deux, le résultat est le même mais la répartition du travail est différente.

Illustrer des citations (seul on va plus vite, ensemble on va plus loin) à l'oral et les rattacher au retour d'expérience. Faire un micro-trottoir ? Interviewer les autres membres de la formation :) (Guillaume Meurice : mettre un peu d'humour dans la manière d'aborder le sujet). Faire un format interview radio ? Les questions sont longue avec introduction de donnée à chaque fois. Créer un personnage fictif (sociologue ?) qui va parler de tout les retours d'expérience et dedans mettre un micro-trottoir ?

Camille : recherches organismes spécialisés et politique
Gwen : recherches art et poésie
Alizée : recherches définitions générale et génériques

Lundi 22 juin 2020
Micro-trottoir avec rex de chacune
Faire introduction mise en situation (def, expliquer pourquoi rex)
faire transition musicale (ukulele, piano)
enregistrer citation

--> envoyer enregistrement à Gwen de 40 seconde (environ!) g.lefebvre@unisons.fr



25/06
CAmille, ALizeé, Gwendoline
Chacune raconte l'expérience collective qui lui a fait prendre conscience du collectif

Alizee
Lycée, internat : même structure pour objectif commun de joure pour faire gagner notre équipe. Chacun y trouve son interêt.
Bulle, entraide au quotidien, cooperation
Signe distinctif de notre groupe : on est en jogging au lycée, pas forcément bien vu des autres. Code
Pour que l'un aille bien, les autres doivent aller bien
Pendant 3 ans, milieu clos
Chacun vit pour le groupe et dans le groupe. Je me suis construite dans ce groupe.
Bonne expérience pour apprendre à travailler dans un groupe et s'insérer dans un groupe.

Camille
Scoutisme quand j'étais petite
Je ressens de faire encore partie du groupe, je vais donner un coup de main de temps en temps.
But ; le groupe grandit ensemble, chacun avance à son rythme, et le groupe veille à ce que chacun avance
Par périodes de ma vie
Pas de mise en valeur de ma personne comme on pourrait attendre quand on s'investit comme ça. Ce qui me rassure c'est de voir que je ne suis pas irremplaçable, je ne suis pas la clé de voute, je ne veux pas avoir cette responsabilité là. J'arrive à penser comme ça après beaucoup d'années de travail, au début j'avais besoin de plus de reconnaissance.
Je fais la cuisine par exemple, et ça ne me dérange pas que les enfants ne connaissent pas mon prénom.
J'essaie de recréer ça dans mes groupes d'amis, monde associatif ou pro, et que chacun trouve sa place. ça devient naturel.

Gwen
le tout premier collectif dont je me souviens : école de danse dès 3 ans.
Que des filles, on a grandi ensemble, plus qu'avec les camarades d'école, parce que la danse on le choisissait.
On avait décidé d'en faire plus, sans que nos parents le sachent, pour être meilleures. On se voyait pour répéter ensemble, en dehors des cours, dès 8 ans.
Puis groupe de musique au lycée.
Puis syndicat lycéen, étudiant...
Puis vie pro dans les assos.
Je coordonne des actions, des activités, pour que ça arrange tout le monde
Expériences assoc bénévoles, ce que j'en retire : Quand on lance une action, c'est qu'on a des valeurs et objectifs communs, indignation commune. Je suis nourrie par l'énergie de ces collectifs où on opartage valeurs et objectifs. ça me met en mouvement.
Energie quand on sort d'une réunion, connivence, on avance ensemble pour être en action. Force.

Discussion
Force à double tranchant
Force de voir que les choses avancent, même quand je n'ai pas participé, ça me motive, du coup je m'investit beaucoup
En revanche quand je vois que les autres s'investissent moins, je vois que je mets beaucoup d'énergie pour rien, donc je me désinvestis aussi.
Je me fixe un objectif par étapes, et si pas atteint je me sens épuisée.
Essayer de tirer un groupe, c'est plaisant. Si relais pas pris et si gens s'investissent pas, je me mets en position d'observatrice, désengagée.
Changement d'attitude en fonction de comment réagit le groupe.

Différence entre bénévole et salariée
Benévoles émotionnellement très impliqués, mais pas dispo en réalité (vie de famille, boulot...)
Disponibilité des gens, leur implication ne dépend pas de leur intérêt dan le projet.
Si projet s'arrête car manque d'implication, c'est la vie. ça me décevait au début.
Je lance des projets pour faire collaborer des acteurs, je vais les chercher, donc ils sont pas très impliqués. C'est normal, si je me mets à leur place. J'accepte, je le prends mieux maintenant qu'avant. Comment les aider à s'impliquer plus ?
Laisser la possibilité aux gens de reculer, ça permet de garder des gens. Savoir qu'on peut sortir du groupe permet d'être sur que les gens qui restent sont volontaires et vraiment engagés.
Si on se sent contraint, on n'a pas le même sentiment d'appartenance.

On ne peut pas donner dans une assoc ce qu'on donne déjà dans le boulot
Importance de pouvoir choisir son rôle dans le collectif.

Phrases clé, péptites :
on a parlé de notre expérience personnelle, alors qu'on travaille toutes les 3 dans la coopération dans notre boulot.
La coopération ça commence dès l'enfance, en dehors des cadres scolaires et professionnels.
Pour qu'on aille bien, il faut que chacun du groupe aille bien.
Faire en sorte que chacun trouve sa place
On se sent inclus dans le collectif quand on sent que les autres donnent de l'importance à ce qu'on est et à ce dont on a besoin.
On est plus capable de s'impliquer su le long terme quand on est libre de le faire.
C'est plus facile de s'investir dans le groupe qu'on a choisi
Accepter que tout le monde ne veuille pas faire partie du collectif. On est libre d'en faire partie ou pas.
Sentiment d'appartenance dans le coeur (on ne peut pas forcer les gens à se sentir du village/pays où ils habitent, mais ils peuvent se sentir appartenir à un festival dans le village)
Importance de l'accueil qu'on a quand on arrive
Lieux pour se voir avec les autres (le café du village)
Importance de se sentir lié aux autres
Se voir évoluer dans un groupe (compétences qu'on développe, effet miroir), et voir les autres évoluer
Initier un projet et partir quand ça marche, laisser la place. On se sent appartenir au projet dont on est parti si on peut passer de temps en temps et si les autres se souviennent de nous.
salarié qui démissionne : quel sentiment d'appartenance au projet après, quand plus personne n'a d'obligation envers lui?
Contrat de travail = lien de subordination, donc perte de liberté. Alors que salariés d'assoc souvent mal payés et travaillent avec le coeur. mais mettent moins de coeur qui si projet perso.
Limite entre pro et privé pour que les soucis du boulot ne m'empêchent pas de dormir.
Quand on est salarié on appartient au collecfif ? ça dépend des assoc. C'est souhaitable, mais ça peut empiéter sur leur vie privée.
Attentes du groupe vis à vis du salarié différent
Si pas de limites, burn out.















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