De l'importance du récit

Progresser vers les nouveaux récits passe bien sûr par comprendre justement l'importance du récit sur chacun et sur le collectif. Harari, Dion, Hopkins et bien d'autres développent aussi largement dans leurs ouvrages, le rôle des récits pour orienter les choix de société. Le récit, le narratif, donne un sens à un engagement. Il lui fait, par exemple, rêver du destin d'un.e tel.le, décider du rôle de la monnaie, de la (re)lecture de l'histoire, de religions minoritaires, majoritaires, de qui sont les ennemis et l'(a)normal. Tout cela tient aussi à nos cerveaux, la manière dont la réalité est interprétée par nos sens, la façon dont notre mémoire est alimentée, la conscience que nous avons ou nous sur l'origine de nos opinions et donc finalement les histoires auquelles nous devenons plus sensibles. Albert Moukheiber par son dernier ouvrage "Notre cerveau nous joue des tours" s'attache à faire connaître ces mécanismes neurologiques qui peuvent totalement orienter nos vies si nous n'y sommes pas attentifs. Ces théories, présentées sous un autre angle, sont également développées dans l'ouvrage de Sébastien Bohler "Le bug humain" ou Pourquoi notre cerveau nous pousse à détruire la planète (vidéo courte).



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