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En miroir de l'épuisement, il est ici question de bien-être
"Il nous semble important de souligner deux choses. D’une part, nous verrons qu’il est utile de distinguer le bien-être en général, du bien-être au travail, qui peut n’en être qu’une partie. D’autre part, considérant spécifiquement le bien-être au travail, il semble nécessaire de distinguer alors le bien-être de la personne au travail du bien-être du travailleur au travail."(voir petit schéma proposé dans le texte).
Facteurs essentiels et périphériques / d'hygiène et motivationnels
Cohérence de rôle entre émotions et représentation du travail
Modélisation autour de la valence.
"Avec l’expression « cohérence de rôle », nous avons voulu désigner le rapport entre émotions ressenties et émotions attendues, c’est-à-dire le processus par lequel une émotion prend son sens. Ainsi, est cohérente une émotion qui est conforme à nos valeurs, une émotion que l’on s’attend à ressentir d’après la représentation idéale que nous avons de notre travail. Nous défendons qu’une telle émotion, fut-elle négative, ne viendra pas détériorer le niveau de bien- être de celui qui la ressent."
Qu'est-ce que le burn-out ? (la définition peut convenir pour certains aspects à l'épuisement professionnel) : "Le burn-out s’installe progressivement, quand se superposent des situations et des responsabilités stressantes qui épuisent le salarié. À un moment donné, la personne n’a plus de ressources et ne parvient plus à faire face. Certaines causes du burn-out au travail sont directement imputables à l’entreprise (surcharge de travail, travail fourni non reconnu, pression managériale, mauvaise ambiance au sein de l’entreprise), d’autres tiennent à la personnalité des individus (perfectionnisme, ambitions professionnelles trop importantes, peur de l’échec, manque de confiance en soi ou dans les autres). Le niveau de tolérance au stress varie d’une personne à une autre, et par ailleurs des circonstances de vie personnelles peuvent également avoir une incidence et aggraver un état de burn-out (difficultés familiales, divorce, parents à charge)."
Signes de l'épuisement : absence de motivation, baisse de concentration, sautes d'humeur, fatigue intense, douleurs diverses, mauvais sommeil... Peut s'aggraver si pas pris à temps, et évoluer en burn-out, voir en dépression.
- Le regard personnel qu'on donne au travail (au regard de son histoire, de son éducation, des valeurs transmises dès la petite enfance, peur de l'échec, etc.) --> se rappeler qu'on est pas "indispensables" : - Si on s'arrête, tout ne s'arrête pas
- Gestion du stress
- Equilibrer le temps personnel et professionnel
- Oser demander des feedbacks à ses collègues et supérieurs, permet de pallier le manque de reconnaissance et de ne pas rester ruminer ce qui nous a touchés.
- Apprendre à mettre ses limites
- Prendre rendez-vous avec soi-même : l'agenda est souvent surchargé, il est donc important de programmer à l'avance dans son agenda des temps "off" et de s'y tenir. C'est un rituel qui doit être bien connu de tous. Il est en effet important de s'affirmer, de communiquer à son entourage professionnel les limites que vous vous mettez afin de garder votre équilibre.
- Accepter le stress ou agir pour ne plus subir ?
Etape 1 : détectez ce qui vous stresse : les conditions de travail ? le contenu du travail ? les relations au travail ?
Etape 2 : déterminer ce que vous pourriez changer : établir un plan d'actions (changer d'horaires, éviter les embouteillages, changer de service...)
Etape 3 : ce que vous ne pourrez pas changer : lister les choses et et essayer de voir les choses avec une autre prisme pour ne pas focaliser et voir le verre plutôt plein que vide. Il faut accepter l'inévitable.
- Se déconnecter pour mieux se reconnecter : se couper du flux d'information; s'interdire de regarder les outils professionnels quand on ne travaille pas ; se fixer des règles communes de communication avec vos interlocuteurs (ce qu'on se dit par mails, en réunions, en point téléphonique rapide, répondre aux mails en 48h, etc.). Surtout ne pas doublonner les moyens de communication (mail suivi d'un appel téléphonique).
- Apprendre à gérer les urgences de plus en plus nombreuses. Bien différencier la notion d'urgence et d'importance.
- Gérer la surcharge de travail : prioriser, prioriser, prioriser... La question importante à se poser le matin n'est pas "que dois-je faire ce matin ? " mais "quelles sont les tâches les plus importantes que je dois faire aujourd'hui ?". Ce changement de paradigme permet de renforcer notre sentiment de contrôle.
Matrice Einsenhower : https://www.manager-go.com/assets/Uploads/Eisenhower-min.png
- Communiquer, communiquer, communiquer... Dire que nous ne sommes pas d'accord, que l'on a besoin de plus de moyens, que l'on ne peut pas compenser plusieurs absences peut mener au conflit avec autrui. Se taire, allonger le temps de travail, ramener des tâches à la maison peut aussi cacher le problème.
Savoir fixer des limites aux autres et à soi-même :l'assertivité est essentielle au bien-être professionnel. Il s'agit de la capacité de s'affirmer en fixant ses besoins et ses limites et en faisant preuve de respect et d'écouter vis à vis des autres. Cela permet d'établir ce qui est de notre responsabilité, et ce qui est de la responsabilité des autres.
Test d'assertivité : https://www.allience-bretagne.fr/wp-content/uploads/2018/05/Test-assertivit%C3%A9.pdf
- Prendre du plaisir dans l'action immédiate et pas forcément le résultat (ref burn out militant voir lien dessous)
- Toujours se rappeler que personne n'est irremplaçable et que le monde continue de tourner sans nous !
Pour prendre du recul sur le travail : "Et tout le monde s'en fout" https://youtu.be/Snfydp6oWUs
https://terredesens.com/blog/cultiver-lalignement-en-periode-de-turbulence/
Comment, en tant que dirigeant, manager, entrepreneur insuffler de l’élan à nos équipes, à nos clients, impulser une dynamique de cohésion voire un nouveau souffle quand ce dernier vient à vous manquer ?
En décembre dernier, constatant pour moi-même, combien mon énergie était mise à mal par le deuxième confinement, je décidais avec une consoeur coach, Valérie Pascal, de mettre en place un plan de ré-alignement. Plan qui nous donna l’idée, quelques semaines plus tard, de proposer à quelques clients dirigeants, un cercle réflexif, un temps de pause de deux heures, destinés à se recentrer sur les choses importantes pour eux, afin de mieux garder leur cap en 2021. Un cadeau de début d’année que nous nous sommes offerts collectivement, en lieu et place des traditionnelles bonnes résolutions que nous ne tenons pas !
Cet article est le fruit de notre expérience. Nous partageons ici avec vous quelques éléments de méthode en vue d’un recentrage de printemps :
Les indicateurs du non-alignement
Se reconnecter à soi et ses valeurs
Apprivoiser les petits monstres
- Management et organisation de la structure de référence
- Partage des tâches dans l'équipe
- Chartes de travail allégée et ambitions revues à la baisse et/ou plus de temps pour y parvenir
Raisons du "burn-out" militant, du point de vie du groupe:
- Echec d'obtenir des résultats avec des moyens dérisoire
- Manque de reconnaissance
- Violence des débats
- Peut également être la conséquence d'émotions positives (volonté d'être utile et efficace, obtenir des victoires)
- Peut-être amplifié par la visibilité et l'immédiateté donnée par les réseaux sociaux
- Trop de choses à faire
posture / chef de projet : http://cesar.team/wp-content/uploads/2016/01/posture.jpg
http://cesar.team/wp-content/uploads/2016/01/posture.jpg
La facilitation telle qu’elle est décrite dans cet article est considérée comme un métier. Mais nous avons mis en avant que l’un des éléments les plus importants pour une facilitation efficace réside dans la posture du facilitateur. Cela veut-il dire que la facilitation peut également être un état d’esprit ? Quand on parle de leader-facilitateur par exemple, il ne s’agit pas d’un métier mais bien d’une casquette que porte le leader lorsque l’occasion s’y prête. En réalité, le leader-facilitateur — pour reprendre notre définition de départ — ne se positionne plus au dessus de ses équipes en donnant des ordres et des directives mais autour de ses équipes, au même niveau qu’eux pour amener le collectif vers un objectif commun. Le leader facilitateur applique certains principes de la facilitation dans son management au quotidien en reprenant les éléments de posture du métier de facilitateur. C’est-à-dire qu’il doit faire preuve de neutralité quand il prend sa casquette de facilitateur et doit laisser ses équipes s’exprimer sans orienter vers une décision en particulier. Il doit également faire preuve d’écoute et d’empathie envers ses équipes pour utiliser au mieux l’intelligence collective et aller vers un management plus humain. En d’autre termes, il doit changer d’état d’esprit notamment en s’inspirant du monde de la facilitation
Conseils au niveau de l'organisation du groupe:
- Célébrer les victoires et les points d'étapes
- Prendre du plaisir dans l'action immédiate et pas forcément le résultat
- Transformer le personnel en collectif : répartir le "cout" - trouver du soutien
- Rendre visible la porte de sortie à tout moment et pour chacun
Références: https://www.axellemag.be/burn-out-militant/
https://www.socialter.fr/article/burn-out-militant
https://www.politis.fr/articles/2020/02/le-burn-out-des-militant-es-41331/
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Chacun peut y intégrer les références repérées.L'épuisement dans un projet
1/ Définition de l'épuisement professionnel & les signes de l'épuisement
En miroir de l'épuisement, il est ici question de bien-être
"Il nous semble important de souligner deux choses. D’une part, nous verrons qu’il est utile de distinguer le bien-être en général, du bien-être au travail, qui peut n’en être qu’une partie. D’autre part, considérant spécifiquement le bien-être au travail, il semble nécessaire de distinguer alors le bien-être de la personne au travail du bien-être du travailleur au travail."(voir petit schéma proposé dans le texte).
Facteurs essentiels et périphériques / d'hygiène et motivationnels
Cohérence de rôle entre émotions et représentation du travail
Modélisation autour de la valence.
"Avec l’expression « cohérence de rôle », nous avons voulu désigner le rapport entre émotions ressenties et émotions attendues, c’est-à-dire le processus par lequel une émotion prend son sens. Ainsi, est cohérente une émotion qui est conforme à nos valeurs, une émotion que l’on s’attend à ressentir d’après la représentation idéale que nous avons de notre travail. Nous défendons qu’une telle émotion, fut-elle négative, ne viendra pas détériorer le niveau de bien- être de celui qui la ressent."
Qu'est-ce que le burn-out ? (la définition peut convenir pour certains aspects à l'épuisement professionnel) : "Le burn-out s’installe progressivement, quand se superposent des situations et des responsabilités stressantes qui épuisent le salarié. À un moment donné, la personne n’a plus de ressources et ne parvient plus à faire face. Certaines causes du burn-out au travail sont directement imputables à l’entreprise (surcharge de travail, travail fourni non reconnu, pression managériale, mauvaise ambiance au sein de l’entreprise), d’autres tiennent à la personnalité des individus (perfectionnisme, ambitions professionnelles trop importantes, peur de l’échec, manque de confiance en soi ou dans les autres). Le niveau de tolérance au stress varie d’une personne à une autre, et par ailleurs des circonstances de vie personnelles peuvent également avoir une incidence et aggraver un état de burn-out (difficultés familiales, divorce, parents à charge)."
Signes de l'épuisement : absence de motivation, baisse de concentration, sautes d'humeur, fatigue intense, douleurs diverses, mauvais sommeil... Peut s'aggraver si pas pris à temps, et évoluer en burn-out, voir en dépression.
2/ Notre rapport personnel au monde du travail => travailler sur soi
- Importance qu'on donne au travail (quelle posture/pression sociale). Le travail ce n'est pas que l'argent. Le travail apporte avant tout une identité (statut, valeurs prônées...), un sentiment d'utilité (avoir un rôle à jouer, être un maillon important), un environnement relationnel (lien social pouvant être détruit par des problèmes organisationnels, des changements, des mutations).- Le regard personnel qu'on donne au travail (au regard de son histoire, de son éducation, des valeurs transmises dès la petite enfance, peur de l'échec, etc.) --> se rappeler qu'on est pas "indispensables" : - Si on s'arrête, tout ne s'arrête pas
- Gestion du stress
- Equilibrer le temps personnel et professionnel
- Oser demander des feedbacks à ses collègues et supérieurs, permet de pallier le manque de reconnaissance et de ne pas rester ruminer ce qui nous a touchés.
- Apprendre à mettre ses limites
- Prendre rendez-vous avec soi-même : l'agenda est souvent surchargé, il est donc important de programmer à l'avance dans son agenda des temps "off" et de s'y tenir. C'est un rituel qui doit être bien connu de tous. Il est en effet important de s'affirmer, de communiquer à son entourage professionnel les limites que vous vous mettez afin de garder votre équilibre.
- Accepter le stress ou agir pour ne plus subir ?
Etape 1 : détectez ce qui vous stresse : les conditions de travail ? le contenu du travail ? les relations au travail ?
Etape 2 : déterminer ce que vous pourriez changer : établir un plan d'actions (changer d'horaires, éviter les embouteillages, changer de service...)
Etape 3 : ce que vous ne pourrez pas changer : lister les choses et et essayer de voir les choses avec une autre prisme pour ne pas focaliser et voir le verre plutôt plein que vide. Il faut accepter l'inévitable.
- Se déconnecter pour mieux se reconnecter : se couper du flux d'information; s'interdire de regarder les outils professionnels quand on ne travaille pas ; se fixer des règles communes de communication avec vos interlocuteurs (ce qu'on se dit par mails, en réunions, en point téléphonique rapide, répondre aux mails en 48h, etc.). Surtout ne pas doublonner les moyens de communication (mail suivi d'un appel téléphonique).
- Apprendre à gérer les urgences de plus en plus nombreuses. Bien différencier la notion d'urgence et d'importance.
- Gérer la surcharge de travail : prioriser, prioriser, prioriser... La question importante à se poser le matin n'est pas "que dois-je faire ce matin ? " mais "quelles sont les tâches les plus importantes que je dois faire aujourd'hui ?". Ce changement de paradigme permet de renforcer notre sentiment de contrôle.
Matrice Einsenhower : https://www.manager-go.com/assets/Uploads/Eisenhower-min.png
- Communiquer, communiquer, communiquer... Dire que nous ne sommes pas d'accord, que l'on a besoin de plus de moyens, que l'on ne peut pas compenser plusieurs absences peut mener au conflit avec autrui. Se taire, allonger le temps de travail, ramener des tâches à la maison peut aussi cacher le problème.
Savoir fixer des limites aux autres et à soi-même :l'assertivité est essentielle au bien-être professionnel. Il s'agit de la capacité de s'affirmer en fixant ses besoins et ses limites et en faisant preuve de respect et d'écouter vis à vis des autres. Cela permet d'établir ce qui est de notre responsabilité, et ce qui est de la responsabilité des autres.
Test d'assertivité : https://www.allience-bretagne.fr/wp-content/uploads/2018/05/Test-assertivit%C3%A9.pdf
- Prendre du plaisir dans l'action immédiate et pas forcément le résultat (ref burn out militant voir lien dessous)
- Toujours se rappeler que personne n'est irremplaçable et que le monde continue de tourner sans nous !
Pour prendre du recul sur le travail : "Et tout le monde s'en fout" https://youtu.be/Snfydp6oWUs
https://terredesens.com/blog/cultiver-lalignement-en-periode-de-turbulence/
Comment, en tant que dirigeant, manager, entrepreneur insuffler de l’élan à nos équipes, à nos clients, impulser une dynamique de cohésion voire un nouveau souffle quand ce dernier vient à vous manquer ?
En décembre dernier, constatant pour moi-même, combien mon énergie était mise à mal par le deuxième confinement, je décidais avec une consoeur coach, Valérie Pascal, de mettre en place un plan de ré-alignement. Plan qui nous donna l’idée, quelques semaines plus tard, de proposer à quelques clients dirigeants, un cercle réflexif, un temps de pause de deux heures, destinés à se recentrer sur les choses importantes pour eux, afin de mieux garder leur cap en 2021. Un cadeau de début d’année que nous nous sommes offerts collectivement, en lieu et place des traditionnelles bonnes résolutions que nous ne tenons pas !
Cet article est le fruit de notre expérience. Nous partageons ici avec vous quelques éléments de méthode en vue d’un recentrage de printemps :
Les indicateurs du non-alignement
Se reconnecter à soi et ses valeurs
Apprivoiser les petits monstres
3/ Gestion/méthodo de projet : plutôt solution => travailler avec les autres
- Gouvernance (partage de responsabilités, prise de décision, liens hiérarchiques...) >> précisez ce qu'on entend par "gouvernance"- Management et organisation de la structure de référence
- Partage des tâches dans l'équipe
- Chartes de travail allégée et ambitions revues à la baisse et/ou plus de temps pour y parvenir
Raisons du "burn-out" militant, du point de vie du groupe:
- Echec d'obtenir des résultats avec des moyens dérisoire
- Manque de reconnaissance
- Violence des débats
- Peut également être la conséquence d'émotions positives (volonté d'être utile et efficace, obtenir des victoires)
- Peut-être amplifié par la visibilité et l'immédiateté donnée par les réseaux sociaux
- Trop de choses à faire
posture / chef de projet : http://cesar.team/wp-content/uploads/2016/01/posture.jpg
http://cesar.team/wp-content/uploads/2016/01/posture.jpg
La facilitation telle qu’elle est décrite dans cet article est considérée comme un métier. Mais nous avons mis en avant que l’un des éléments les plus importants pour une facilitation efficace réside dans la posture du facilitateur. Cela veut-il dire que la facilitation peut également être un état d’esprit ? Quand on parle de leader-facilitateur par exemple, il ne s’agit pas d’un métier mais bien d’une casquette que porte le leader lorsque l’occasion s’y prête. En réalité, le leader-facilitateur — pour reprendre notre définition de départ — ne se positionne plus au dessus de ses équipes en donnant des ordres et des directives mais autour de ses équipes, au même niveau qu’eux pour amener le collectif vers un objectif commun. Le leader facilitateur applique certains principes de la facilitation dans son management au quotidien en reprenant les éléments de posture du métier de facilitateur. C’est-à-dire qu’il doit faire preuve de neutralité quand il prend sa casquette de facilitateur et doit laisser ses équipes s’exprimer sans orienter vers une décision en particulier. Il doit également faire preuve d’écoute et d’empathie envers ses équipes pour utiliser au mieux l’intelligence collective et aller vers un management plus humain. En d’autre termes, il doit changer d’état d’esprit notamment en s’inspirant du monde de la facilitation
Conseils au niveau de l'organisation du groupe:
- Célébrer les victoires et les points d'étapes
- Prendre du plaisir dans l'action immédiate et pas forcément le résultat
- Transformer le personnel en collectif : répartir le "cout" - trouver du soutien
- Rendre visible la porte de sortie à tout moment et pour chacun
Références: https://www.axellemag.be/burn-out-militant/
https://www.socialter.fr/article/burn-out-militant
https://www.politis.fr/articles/2020/02/le-burn-out-des-militant-es-41331/