Qualités pour collaborer animateur/collaborateur


  • (outils + fonctionnement du groupe)

Membres du groupe


contacts :

- Isabelle Brulé :
- André Guyomar :
- Dominique
- Fanny
- Emilie
- David

Liens vers les PAD :


Pad de contribution originel : http://openetherpad.org/Mf91PPbtXh

Introduction

Contexte du travail collaboratif/coopératif (collaboration vs coopération)-> Fanny, Emilie, André
  • Théorique
  • Pratique du groupe
http://openetherpad.org/MnKy4du5LW


Quels enjeux, quelles actions, quels objectifs, quelles contraintes -> Dominique, Isabelle, David
  • Théorique (André)
  • Pratique du groupe
http://openetherpad.org/tsHQDqdDZw


Quels acteurs, quels composants (ou supports) pour partager (produire), organiser, communiquer.(Quelle définition d'une situation idéale de collaboration ?)
-> animateur : rôle et fonctions, engagement, motivation, adhésion -> Dominique, Emilie
-> collaborateurs : rôle et fonctions,engagement, motivation, adhésion-> Dominique, Emilie
-> quels outils en ligne ? (notions d'outils de communication, de partage, de production -synchrone et asynchrone) -> Dominique, Emilie, Fanny
http://openetherpad.org/JX5imNi63z

Notre vécu : http://openetherpad.org/boovl2PKLQ
Etude de cas -> notre production commune de l'article Animacoop
Retour d'expérience -> qu'est-ce qui a marché/n'a pas marché .
Quels points d'amélioration

Conclusion

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Archives mai 2012
(AG)
Une proposition de plan pour cet article
Titre :
Collaborer en ligne : quelles aptitudes, quelles compétences pour animer et participer à un projet ?

Plan à discuter :

Intro :

Définition du travail collaboratif (collaboration vs coopération) Quels enjeux, quelles actions, quels objectifs

Collaborer dans un contexte de projet : quels objectifs, quelles contraintes
Quels acteurs, quels composants (ou supports)
-> animateur : rôle et fonctions
-> collaborateurs : rôle et fonctions
-> quels outils en ligne ? (notions d'outils de communication, de partage, de production -synchrone et asynchrone)

Quelle définition d'une situation idéale de collaboration ?
-> engagement, motivation, adhésion des acteurs
-> quelles aptitudes organisationnelles, technologiques, rédactionnelles ?

Etude de cas -> notre production commune de l'article Animacoop
Retour d'expérience -> qu'est-ce qui a marché/n'a pas marché .
Quels points d'amélioration

Conclusion



Les définitions de la collaboration et de la coopération dans l'enseignement (TECFA - Genève) :
http://www.eduscol.education.fr/numerique/dossier/apprendre/eformation/notion-accompagnement-notion-collaboratif
(Cette définition est axée vers l'apprentissage, remplacez le mot apprenant par collaborateur ou participant)


Travail coopératif
Dans le cadre d'un travail réalisé de façon coopérative, il y aura une répartition claire du travail entre ses participants. De façon concrète, il sera assigné à chaque élève une tâche claire et concrète. Par la suite, les travaux individuels de chaque élèves seront assemblés et formeront le travail final.
Dans cette forme de travail l'apprenant sera responsable de sa propre production, mais il devra néanmoins apprendre à interagir avec les autres participants afin que le travail final puisse être cohérent.

Travail collaboratif
Dans le cadre d'un travail réalisé de façon collaborative, il n'y aura aucune répartition du travail entre ses participants. En effet ces derniers travailleront tous ensemble à chaque étape de l'élaboration du travail. Il sera donc impossible, une fois le travail réalisé, d'identifier le travail fourni par chacun.
Ce type de travail se base sur les capacités de communication et d'interaction de chacun.

Références bibliographie/webographie => Le principe de Nielsen, le 90-9-1 (ou la loi des 1%)
http://pro.01net.com/editorial/547888/valorisation-de-linformation-limportance-des-intermediaires/
http://documix.wordpress.com/2010/10/12/loi-90-9-1/
http://www.useit.com/alertbox/participation_inequality.html
http://travailcollaboratif.typepad.com/methode_main/2008/02/la-loi-du-90-9.html

La collaboration d'après B.Charlier, J.Bonamy, M.Saunders (2003) dans "Apprivoiser l'innovation", chap.1

"(La collaboration est) une auberge espagnole où chacun apporte des ingrédients pour créer un menu commun original et intégrant les apports de chacun"
Note AG => J'aime bien ce terme "d'auberge espagnole" utilisée par ces auteurs.
"La connaissance est construite dans les interactions entre les individus qui partagent un projet commun. Elle est souvent accompagnée d'habiletés socio-affectives devant être mobilisées en situation."
"Les étapes du travail de groupe : former le groupe, décider d'un projet, réaliser le projet, le réguler, l'évaluer".
J'ajouterai une première étape qui me semble indispensable, c'est le recensement ou l'expression des besoins (Le pourquoi du projet et pourquoi se mène t'il en collaboration? Quels objectifs ? Quelle(s) réponse(s) à un problème identifié, à des attentes, a un manque?

Charlier, dans un contexte d'enseignement/apprentissage, liste quelques critères de signifiance d'un projet collaboratif : Apprentissage et développement des membres du groupe. Nouvelles connaissances construites pertinentes pour les besoin du groupe" (et donc du projet)

Notes AG : Le travail collaboratif est soumis à conditions, on pourrait les classer, dans un premier temps, en deux types de capacités que doivent posséder les membres, collaborateurs et animateurs :
- des capacités humaines et sociales, pour communiquer, pour définir le projet, pour le mettre en relation avec les avis/idées/opinions des autres acteurs. Des capacités à respecter les engagement pris. De la curiosité, des aptitudes à comprendre les opinions et avis des autres membres du groupe. Des capacités à écouter, à questionner (notion de curiosité) et à partager (notion de générosité)
- Si la conduite (sa diffusion, son exploitation) est supportée par les TIC, il est aussi nécessaire d'avoir des capacités "technologiques" ou des aptitudes à acquérir ces capacités : disposer ou pouvoir accéder aux outils (machines/logiciels/réseau), à les utiliser, à les pratiquer, (pour certains à les maîtriser, ceci suivant le projet), et des aptitudes à transmettre son savoir, sa maîtrise d'une (ou plusieurs) techniques. Etre curieux du point de vue la technologique (notion de curiosité)
Je pense qu'il y a d'autres capacités/aptitudes...Lorsqu'on les aura déterminées/discutées/hiérarchisées, on pourra déterminer celles absolument nécessaires (acquises ou à acquérir durant la conduite du projet) et répondre à la question : Quelles aptitudes indispensables pour collaborer ?

Je rajoute, ci-dessous différentes notes du pad d'origine.



Notes André le 1/6 : Pour continuer un peu la recherche des éléments et du développement de cet article (et pour préparer notre rencontre de lundi 4/6 à TB, on pourrait peut-être bâtir notre article (l e cadrer) suivant les facettes suivantes : Les développements de cet article peuvent être vastes. pour faire simple, ne pourrait-on pas se rencentrer sur le thème : des outils et des hommes? Suivant ce que l'on e que l'on va développer (ou trouver dans nos réflexions) on s'acheminera peut-être vers une conclusion du style : Des projets collaboratifs en ligne : des outils mais surtout des hommes ........

L'information : quelles aptitudes et capacités à rechercher, trouver la bonne information, la traiter, l'analyser l'évaluer ? Même questions concernant les outils (logiciels) pouvant être les supports de la collaboration afin de l'organiser (ex : doodle, agenda partagé,téléphone), de partager/communiquer (mails, listes de discusssion, forums, réseaux sociaux, micro-blogging...).et produire (éditeurs de texte simples, éditeurs partagés, wiki...).

La motivation : L'importance du contexte général pour motiver les acteurs (collaborateurs et animateurs du projet). Ce contexte peut concerner les relations des individus-animateurs et collaborateurs- dans le groupe. Il peut être économique (les enjeux du projet, indivuels et du groupe). ou politique, ou encore technologique (tout le monde n'est pas attiré par les technos-outils informatiques, logiciels-, tout le monde n'a pas envie de faire l'effort de s'équiper, de les utiliser, de se former)...

L'action : Les activités individuelles et les activités du groupe. L'auto-appprentissage mais aussi le partage et la mise en commun (la transmission) des compétences et des habiletés des membres du groupes vers les acteurs moins habiles.

l'interaction : La communication, l'échange, le partage entre les membres du groupe en vue d'une production, d'un objectif commun.

La production : Et l'importance de construire quelquechose par le groupe mais que chaque acteur se sente fier d'y avoir participé

On pourrait également, pour chacune de ces facettes, examiner notre travail de groupe (l'article) et lister les forces et les faiblesses de notre groupe.

A noter également : ne pas oublier, dans le titre et l'intro de l'article, de préciser "collaboration en ligne, via les réseaux informatiques"



Notes André du 4 Juin
J'ai relu,ce week-end, quelques chapitres du livre de Norbert ALTER (l'innovation ordinaire, 2002, Presse universitaire), je me suis beaucoup appuyé sur cet auteur dans mes derniers travaux et, je pense qu'il nous apporte quelques réponses pour cet article.
Voici un petit résumé de ma lecture:

D'après ALTER (2002), dans les réseaux collaboratifs, la compétence est informelle et collective. Cette compétence collective repose sur une mise en commun et sur un partage des savoirs et non pas sur des régles de division du travail comme c'est le cas dans les réseaux coopératifs. S'appuyant sur la sociologie, cet auteur définit un réseau collaboratif suivant cinq critères résumés ici :
Dans réseau collaboratif, chaque acteur peut entrer en relation avec tous les autres membres indépendamment d'une structure centrale. C'est une structure d'échange centrée sur les objectifs poursuivis qui échappe aux circuits ou conventions qui dépasse le cadre institutionnel ou professionnel dans lequel le réseau est intégré. Un réseau est donc toujours plus ou moins clandestin et sa survie et sa perennité dépendra de son effciaité à répondre aux attentes et aux objectifs communs et individuels poursuivis par ses membres.
A partir des études d'Alter, nous pouvons décliner les facteurs qui pourraient conditionner la vie, la survie et la pérennité d'un réseau collaboratif :
- la liberté des acteurs dans leurs relations et dans leurs communications au sein du groupe
- leurs capacités et leurs aptitudes à échanger et à partager
- la diversité des origines et des compétences des acteurs permettant le brassage et la richesse des écahnges et des partages,
- le respect de l'indépendance des acteurs et de leurs différences
- les capacités du réseau à répondre aux objectifs et aux attentes collectives et individuelles de ses membres.


le 4 juin 2012 (suite au plantage du pad, la rédaction finale a été faite dans un fichier bloc note -affectation, par thème, des rédacteurs principaux et des contributeurs - N'ayant pas le fichier sous la main, (il est sur mon ordi au bureau), je le copierai ci-dessous demain 5 juin, le voici...
Réunion du 4 juin 2012 à Télécom Bretagne
Intro (à rédiger à la fin)

Contexte du travail collaboratif/coopératif (collaboration vs coopération)->Fanny/André/Emilie
  • Théorique
  • Pratique du groupe
Quels enjeux, quelles actions, quels objectifs, quelles contraintes-> Dominique/Isabelle/David
  • Théorique (apport André)
  • Pratique du groupe


Quels acteurs, quels composants (ou supports) pour partager (produire), organiser, communiquer.(Quelle définition d'une situation idéale de collaboration ?)
-> animateur : rôle et fonctions, engagement, motivation, adhésion (Dominique/Emilie)
-> collaborateurs : rôle et fonctions,engagement, motivation, adhésion (Dominique/Emilie)
-> quels outils en ligne ? (notions d'outils de communication, de partage, de production -synchrone et asynchrone)(Dominique/Emilie/Fanny)



Etude de cas -> notre production commune de l'article Animacoop
Retour d'expérience -> qu'est-ce qui a marché/n'a pas marché .
Quels points d'amélioration

Conclusion


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