Collaboration et Développement Durable


Membres du groupe


Contacts :
- Amandine
- Jessica
- Nathalie
- François
- Gwendal
- Yann

....

PAD : http://openetherpad.org/bSNvMMoDu8

nouveau PAD (15/06/2012) : piratepad.net/zBHhMTDTrV
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Liens intéressants


http://www.scoop.it/t/collaboration-et-developpement-durable

Quels liens entre libre et durable ? Explication par Thanh Nghuiem :
http://ee.angenius.net/tiki-index.php?page=Libre+et+durable
http://www.a-brest.net/article6252.html
La transparence, lien entre libre et durable :
http://www.atelier-idf.org/breves/2012-05-02,minga-systeme-analyse-filieres.htm

Logiciels libres : l'informatique au service du développement durable et social
http://www.mediasolidaire.com/actualites/entreprises-solidaires/342-logiciels-libres-et-developpement-durable-et-social.html

Les incroyables comestibles : Un peu partout dans le monde, des groupes de citoyens se forment afin de fournir l’accès à une bonne nourriture locale pour tous en cultivant les espaces publics disponibles. La collaboration au service d'une nourriture locale pour tous : Un résultat très convainquant !
http://www.incredible-edible-freland.fr/
...
Problématique

Comment les pratiques collaboratives peuvent favoriser le développement durable des territoires ?

Réflexions initiales


Introduction

" un développement qui répond au besoin du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs " - 1987, rapport de Gro Harlem Brundtland, "Notre Avenir à tous".

  • Liens par nature entre la gouvernance, la coopération, les pratiques collaboratives

Le développement durable s'est construit autour de quatre piliers : l'économie, l'environnement, le social, et la gouvernance.
Ce dernier pilier est nécessaire à la réflexion et à la bonne application des enjeux du développement durable. La gouvernance est une forme relativement nouvelle de démocratie participative. Elle exige la concertation, la coopération et le partenariat entre tous les acteurs du développement durable.

Cette aspiration à "gouverner" de façon concertée, plus horizontale, est devenue un point d'appui indispensable pour permettre le développement durable de territoires. D'où un lien fort entre les pratiques collaboratives et le développement durable, dans le montage de projets et leur animation.

Au fil du temps, les acteurs du DD (les acteurs du changement...) ont expérimenté des modèles variés pour permettre la participation et la prise de décision collective : démocratie participative, conseils consultatifs de quartier... Mais au final, seuls les personnes au sommet des pyramides hiérarchiques étaient habilitées à prendre des décisions et les outils permettant une réelle coopérations n'étaient pas encore suffisamment connus et donc utilisés ; il fallait aller plus loin que la simple "consultation".
D'autres façons de faire se sont alors développées, notamment dans le cadre de l'économie sociale et solidaire, véritable laboratoire en terme de management coopératif et de gouvernance en entreprise (entrepreneuriat coopératif, SCOP, SCIC...). Ces modèles expérimentent une gouvernance partagée et connaissent un essor prometteur.

En parallèle, d'autres expériences montrent que des citoyens s'organisent entre eux et avec les acteurs de leur territoire (associations, institutions, ...) pour mener des projets de transformation de leurs territoire ; dans ces groupes (villes en transition, plan ESSE, colibris...), l'aspect de gouvernance coopérative est centrale. Les techniques d'animation de groupe se peaufinent, se transmettent... (forum ouverts, world cafés, théâtre forum, jeux coopératifs, technique du consensus, techniques de communication non violente... et outils web collaboratifs!). Petit à petit, ces outils et techniques collaboratives font tâche d'huile et intéressent de plus en plus les administrations et grandes entreprises.

La plupart de ces groupes souhaiteraient aller encore plus loin dans la coopération en se passant totalement de "lieder", (qui est d'ailleurs appelé "facilitateur") grâce à une responsabilisation accrue et à des moyens techniques pour collaborer de plus en plus efficaces et reconnus. Est-ce que notre capacité à nous "auto-gouverner" le permettrait? L'avenir nous le dira.

(La collaboration n'est pas une méthodologie démocratique)

Ce qui est certain, c'est que l'application des notions de développement durable a incontestablement permis aux techniques collaboratives de trouver un terrain d'expérimentation qui a largement favorisé son évolution et sa vulgarisation, dans le cadre du développement durable et au-delà.

(La méthodologie collaborative a évolué grâce aux avancées numériques ; pas au DD :

Avec le développement du numérique les pratiques collaboratives ont fait la preuve de leur efficience. La coopération de milliers de personnes, le partage de ressources réutilisables permettent la mise en œuvre de projets participatifs qui élargissent les biens mis en communs et enrichissent le vivre ensemble.)



Les pratiques collaboratives sont nées dans le milieu techno / militant, puis a pénétré des milieux intermédiaires avant de parvenir au milieux non militants (tous milieux, citoyens...) (ex : indignés).

Liens naturels entre Libre et Durable
"Le développement d'aujourd'hui doit permettre celui de demain : les écosystèmes doivent pouvoir répondre aux besoins des générations actuelles sans compromettre leur capacité à satisfaire les besoins des générations futures." (Wikipedia)

explications des liens entre libre et durable : http://5.lir.be/tiki-index.php?page=Libre%20et%20durable

Les outils collaboratifs sont au service du développement durable des territoires puisqu'ils permettent :
- de dématérialiser les services et activités comme élément pour réduire le bilan carbone
- de concertation, participation des habitants
Oui, mais, quelle emprunte écologique pour les pratiques collaboratives ?
Logiciel libre et développement durable : explication dans un diaporama d'Outils réseaux

"En conclusion, le collaboratif, la coopération est un modèle bien plus durable que la compétition, c'est le seul modèle viable et pérenne car il tire son origine des besoins et désirs des usagers et propose des solutions "bottom up", libres et accessibles pour tous" Cf : http://5.lir.be/tiki-index.php?page=Etude+de+cas+Brest

Nous traiterons le sujet en posant le DD comme pratiques de territoire en transition.

Pour qu'un projet DD soit collaboratif...
Les pratiques collaboratives permettent de sauver de l'argent et développer un territoire de façon durable.

Bien qu'il y ait un lien évident entre DD et pratiques collaboratives, certaines constantes sont indispensable pour qu'un projet de DD soit à même d'utiliser les pratiques collaboratives :

Territoires intelligents et communautés apprenantes Cf : Thanh Nghiem

"Une « communauté apprenante » est un groupe de personnes qui s’activent sur un territoire dont l’intelligence infrastructurelle leur permet d’amorcer et d’entretenir une démarche permanente d’apprentissage partagé.

Type de communautés pouvant exister :
modes de vie durables, économie sociale et solidaire, éducation et formation, emploi et apprentissage, art et culture, santé et sport, vie associative, séniors etc.
Un « territoire intelligent » est un espace disposant d’infrastructures et de caractéristiques matérielles, conçu, délimité et entretenu pour permettre la circulation rapide d’information, leur analyse, leur interprétation et leur préservation.

Contrairement à un groupe de travail, une association, un collectif ou tout autre type de rassemblement d’individus et de structures, une communauté apprenante se distinct par son mode de gouvernance et son esprit d’ouverte à toute personne pouvant apporter à la communauté plutôt que de se focaliser sur l’invitation et la préemption.

les mots clefs sont : Intelligence Collective, Biens Communs, Gouvernance, Confiance, Réciprocité, Bienveillance, Open Process, Feed Back, Life Model, Open Data, Jardinage, Wiki School, Conciergerie, Bar Camp, TICA…"
Source : http://zoomacom.org/activites/communautes-apprenantes/

Un développement durable et solidaire de nos territoire basé sur la collaoration est démarche novatrice de développement local rural centré sur le renforcement des capacités d’une communauté rurale à apprendre, à innover et à créer des liens solidaires.
Un groupe formé et motivé
Ne pas avoir le choix
Créer une culture partagée (Comment passer de l'individualisme au collectif : il faut que les gens partagent un intérêt )
(Un pouvoir public local motivé ?)

Des pratiques différentes en fonction de la taille du réseau

En grossissant, en s'ouvrant à de nouveaux membres, un réseau élargit son champs des possibles.

Réseau de petite taille (<100 membres)
Ex : le compostage collectif, Ecoumen, Héol

Les territoires sont petits : ex, un immeuble, une rue...

la première fois que l'on a réussi à coopérer au delà de 12 pers., c'est dans les années 90 avec l'arrivée des logiciels libres.

Le réseau est petit, à l'état de naissance puisque pour produire un niveau de coopération intéressant, il est nécessaire de passer le plus rapidement possible à 100 membres. En effet, sur 100 personnes, seules 10% sont membre actifs. Les 90% restant sont essentiels à la vie du réseau puisqu'ils sont contributeurs et observateurs. Mais seuls l'animateur et 10% du réseau sont actifs.

Force :
Chaleureux, à taille humaine, très local

Faiblesse :
Fragile (repose sur les épaule d'un animateur ; l'animation est "dictatoriale" = 1 animateur),
Faible capacité à augmenter le champs des possibles.

Groupe de taille moyenne (<1000 membres)
Ex : BRUDED, Circuit court du Pays de Brest, St Camille

Le territoire est de taille moyenne ; ex : une commune.

Les groupes de quelques centaines de personnes fonctionnent très bien. La majorité des groupes de collaboration ont cette taille.

Force :
Animation centralisée, assurée par 3-4 personnes.
Les animateurs assument aussi les rôles d'administrateur, modérateur et gestionnaires de contraintes.

Faiblesse :
Le grouper est très dépendant du rôle des animateurs.

Groupe de grande taille à très grande taille (>1000 membres voire 10000 membres)
Ex : Cf. Laurent, la consommation collaborative :

Le territoire est grand ; ex. : une ville, une communauté de commune, une région...

Le début des très grands réseaux = wikipedia (2003/2004) donc - de 10 ans

Le réseau augmente en communiquant vers l'extérieur, en cherchant à rejoindre de nouveaux acteurs.

Permet d'augmenter la force de frappe du réseau et de modifier l'animation.

Force :
Animation décentralisée, par opportunité, en trois niveaux :
1 Groupe administrateur- (coordination : petit groupe qui gère les contraintes
2 animateur - modérateurs ( 100 voir plus ) qui définissent les contenus possibles
3.Rôle de gestionnaire de contraintes techniques et financières : peu de personnes

Attention, pour passer à l'échelle (>10 000) importance d'avoir :

* des traducteur pour pouvoir passer à l'échelle afin d'être compréhensible, ouvert, sans opposition avec le reste du monde (ex : aujourd'hui, on ne parle plus d'innovation sociale mais de créativité citoyenne ; beaucoup plus compréhensible, ouvert vers les non militant).

Tout l'intérêt du passage à l'échelle réside aussi dans cette ouverture du vocabulaire qui permet de faire sortir un réseau de son cercle de militant afin de "contaminer" l'ensemble des milieux de la société.

* des "intégrateurs" (les membres qui invitent leur propre réseau à se joindre au groupe)

Faiblesse :
Mais situation actuelle des grands et très grands groupes :
Les grands groupes (|e| 1000 et 10000), fonctionne assez mal car l'animation reste centralisée alors même que le groupe atteint une taille conséquente (ex : IP et Telabotanica)
Les très grands groupes (>10 000) permettent la gestion par la communauté (l'animation est "centralisée" par un noyeau "association"), par opportunité mais on ne sait pas faire, peu de travaux sur le sujet et de réponses méthodologiques. Seul exemple : Wikipédia

Conclusion

Listing non exhaustif des initiatives
Le code source : cf Than Nghiem http://thanh-nghiem.fr/tiki-index.php?page=code+source

.............

Proposition retravaillée


* Le développement durable est "un développement qui répond au besoin du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs " - 1987, rapport de Gro Harlem Brundtland, "Notre Avenir à tous".

* La coopération est une forme d'organisation collective qui encadre parfois des relations économiques. Elle existe :
- sous des formes spontanées, souvent individuelles, en particulier avec les systèmes d'échanges locaux (SEL)
- sous des formes organisées par des structures (économie sociale), par des comportements (économie solidaire) ou par des contrats (cas des logiciels libres avec le principe de copyleft).

Dans un système basé sur la coopération, les différents acteurs travaillent dans un esprit d'intérêt général de tous les acteurs. Cela suppose un certain degré de confiance et de compréhension. La coopération est antagoniste à la concurrence.

DD et Collaboration : un lien étroit


- La société actuelle doit faire face à de grands enjeux socio-économique et environnementaux. D'où l'urgence de développer durablement nos territoires.
- La société actuelle est une société d'abondance (abondance d'informations, de mobilisation humaine et d'énergie) donc propice à la collaboration (Cornu)
- La collaboration est un outils adapter pour aider nos territoires dans leurs transitions : beaucoup de natures communes(DD <-> Libre : dans les valeurs, l'innovation ascendante).
- Cependant, les pratiques collaboratives comme le concept de DD sont très nouveau et le système actuellement en place en est très éloigné.

Ressources :
nous voici dans un monde où nous avons besoin :
- d'innovation ascendante et où il y a une abondance des envies de mieux vivre ensemble
- confronté à une pénurie des énergies fossiles, nous voyons poindre une abondance des énergies locales
- d'une éducation tout au long de la vie et nous avons une abondance de ressources écucativs de réseaux d'échanges possibles (sel)
- de réduire les déplacements pour une économie sociale
(M. Briand)

"Le développement d'aujourd'hui doit permettre celui de demain : les écosystèmes doivent pouvoir répondre aux besoins des générations actuelles sans compromettre leur capacité à satisfaire les besoins des générations futures." (Wikipedia)

Une société d'abondance (Cornu) :
http://www.cornu.eu.org/news/y-a-t-il-une-economie-de-l-abondance
http://www.cornu.eu.org/news/2-1-biens-non-consommables-et-environnement-d-abondance
http://www.cornu.eu.org/news/introduction-de-internet-tome-2-services-et-usages-de-demain
http://www.apeas.fr/La-cooperation-nouvelles-approches.html
www.cornu.eu.org/files/0310Groupe_prospective_Senat_1.pdf
http://www.blogigo.de/arnold
http://capatana.bravejournal.com/index.php
http://miralabele.zoomshare.com/0.html
http://samuelblog.websitescamp.com/
http://angelineanouk.tumblr.com/
explications des liens entre libre et durable : http://5.lir.be/tiki-index.php?page=Libre%20et%20durable

Les outils collaboratifs sont au service du développement durable des territoires puisqu'ils permettent :
- de dématérialiser les services et activités comme élément pour réduire le bilan carbone
- de concertation, participation des habitants
Oui, mais, quelle emprunte écologique pour les pratiques collaboratives ?
Logiciel libre et développement durable : explication dans un diaporama d'Outils réseaux

"En conclusion, le collaboratif, la coopération est un modèle bien plus durable que la compétition, c'est le seul modèle viable et pérenne car il tire son origine des besoins et désirs des usagers et propose des solutions "bottom up", libres et accessibles pour tous" Cf : http://5.lir.be/tiki-index.php?page=Etude+de+cas+Brest

Nous traiterons le sujet en posant le DD comme pratiques de territoire en transition.

La force du territoire


- Développement local, durable, solidaire et collaboratif : des racines territoriales communes.
- Pour que les démarches soient durables, il faut créer les conditions favorables, les infrastructures :
En effet, si la motivation d'un groupe de citoyens et d'élus est nécessaire et essentielle au démarrage d'une démarche, celle-ci est non garante de réussite et de durabilité.
D'où le besoin de mettre en place des infrastructures : formation, outils de soutien à l'innovation citoyenne... : les TICA
Ex : Loos-en-Gohelle, St Camille, Brest, commune des Monts d'Arrée ...

Ressources :

Bien commun : http://moinscplus.blogspot.fr/2012/05/le-bien-commun-est-sur-toutes-les.html

Territoires intelligents et communautés apprenantes
Cf : Thanh Nghiem
diaporama de zoomacom

"Une « communauté apprenante » est un groupe de personnes qui s’activent sur un territoire dont l’intelligence infrastructurelle leur permet d’amorcer et d’entretenir une démarche permanente d’apprentissage partagé.

Type de communautés pouvant exister :
modes de vie durables, économie sociale et solidaire, éducation et formation, emploi et apprentissage, art et culture, santé et sport, vie associative, séniors etc.
Un « territoire intelligent » est un espace disposant d’infrastructures et de caractéristiques matérielles, conçu, délimité et entretenu pour permettre la circulation rapide d’information, leur analyse, leur interprétation et leur préservation.

Contrairement à un groupe de travail, une association, un collectif ou tout autre type de rassemblement d’individus et de structures, une communauté apprenante se distinct par son mode de gouvernance et son esprit d’ouverte à toute personne pouvant apporter à la communauté plutôt que de se focaliser sur l’invitation et la préemption.

les mots clefs sont : Intelligence Collective, Biens Communs, Gouvernance, Confiance, Réciprocité, Bienveillance, Open Process, Feed Back, Life Model, Open Data, Jardinage, Wiki School, Conciergerie, Bar Camp, TICA…"
Source : http://zoomacom.org/activites/communautes-apprenantes/

Silfiac : http://www.silfiac.fr/develodurable.htm

Tiers lieux : « L'évolution des EPN et du travail à distance dans la Loire », Projet Loire 2.0, association Zoomacom. Juin 2011 ; www.slideshare.net/zooma/epn-et-teletravail-tiers-lieux-8278978

Pour aller plus loin...


- Nécessité de multiplier les projets de territoires durable et solidaire pour que les territoires soient capable de répondre aux enjeux de DD.
Pour ça, il faut polliniser : Code source et Fab Lab, Cantine
- Puis, nécessité de mettre en réseau ces réseaux, de créer un archipel de collaboration, pour passer à l'échelle, pour que la société soit à même de répondre collectivement à ses enjeux de DD des territoires.
Le passage à l'échelle permet d'augmenter la force de frappe du groupe, de décentraliser l'animation.
Nous nous situons à ce niveau dans le domaine de l'innovation : nous ne savons pas faire pour le moment ...

Ressources :

Polléniser : http://obstest.sciencescom.org/?p=1105

L'intelligence collective : http://obstest.sciencescom.org/?p=1113

Les Groupe de grande taille à très grande taille (>1000 membres voire 10000 membres) :
Ex : Cf. Laurent, la consommation collaborative :

Le territoire est grand ; ex. : une ville, une communauté de commune, une région...
Le début des très grands réseaux = wikipedia (2003/2004) donc - de 10 ans
Le réseau augmente en communiquant vers l'extérieur, en cherchant à rejoindre de nouveaux acteurs.
Permet d'augmenter la force de frappe du réseau et de modifier l'animation.

Force :
Animation décentralisée, par opportunité, en trois niveaux :
1 Groupe administrateur- (coordination : petit groupe qui gère les contraintes
2 animateur - modérateurs ( 100 voir plus ) qui définissent les contenus possibles
3.Rôle de gestionnaire de contraintes techniques et financières : peu de personnes

Attention, pour passer à l'échelle (>10 000) importance d'avoir :
* des traducteur pour pouvoir passer à l'échelle afin d'être compréhensible, ouvert, sans opposition avec le reste du monde (ex : aujourd'hui, on ne parle plus d'innovation sociale mais de créativité citoyenne ; beaucoup plus compréhensible, ouvert vers les non militant).
Tout l'intérêt du passage à l'échelle réside aussi dans cette ouverture du vocabulaire qui permet de faire sortir un réseau de son cercle de militant afin de "contaminer" l'ensemble des milieux de la société.
* des "intégrateurs" (les membres qui invitent leur propre réseau à se joindre au groupe)

Faiblesse :
Mais situation actuelle des grands et très grands groupes :
Les grands groupes (|e| 1000 et 10000), fonctionne assez mal car l'animation reste centralisée alors même que le groupe atteint une taille conséquente (ex : IP et Telabotanica)
Les très grands groupes (>10 000) permettent la gestion par la communauté (l'animation est "centralisée" par un noyau "association"), par opportunité mais on ne sait pas faire, peu de travaux sur le sujet et de réponses méthodologiques. Seul exemple : Wikipédia

Le code source :
cf Than Nghiem http://thanh-nghiem.fr/tiki-index.php?page=code+source

Les Fab Lab :
http://fablab.fr/
http://fing.org/?Le-Fab-Lab-lieu-d-artisanat
http://fing.org/?Tour-d-horizon-des-Fab-Labs,866
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fab_lab

Les Cantines numériques :
http://www.marsouin.org/spip.php?article384
http://cantine-nantes.org/
http://reseaudescantines.org/
http://lacantine.org/
http://lacantine-angers.org/
http://www.ville-bruz.fr/-La-Cantine-numerique,218-.html


Conclusion


- La pression éco, soc et envi est de plus en plus forte sur nos territoires. Les merdes se multiplient. Heureusement, les merdes font pousser les fleurs, drainent de l'énergie.
On peut donc penser que le contexte est favorable à l'innovation sociale, à la créativité citoyenne, à la création de biens communs et à la co-construction d'un mieux vivre ensemble.